FRANCE : LE BILLET POUR LA LIBERTÉ

FRANCE : LE BILLET POUR LA LIBERTÉ

Le Départ

Alors tu veux partir vers la liberté, hein ?

Monte dans l’avion. Glisse dans le train. Quoi qu’il en coûte, sors d’ici et envole-toi vers quelque chose de meilleur.

Tu ne fuis pas. Tu ne fais juste plus attendre. Pas pour la permission. Pas pour la clarté. Pas pour le bon moment.

Tu bouges.

Mais avant que tu partes, laisse-moi te dire ceci :

À moins que tu aies de l’argent… du vrai argent, pas ce camouflage de chèque à chèque. Ou un réseau si solide qu’il peut fissurer du béton. Ou une famille capable de changer ta trajectoire en un seul appel…

Alors tu ne voles pas vers la liberté. Tu voles vers un autre système.

Un pays différent. Une langue différente. Le même cycle.

Parce que ces murmures que tu entends sur la France, ces projections médiatiques, ces reels Instagram, ces brochures sucrées  ils t’ont parlé de :

Luxe. Pâtisseries. Art. Longs déjeuners. Vin de midi. Rues pavées à la beauté intemporelle.

Ils t’ont montré une peinture. Mais ils ne t’ont jamais montré les coups de pinceau.

Parce que la France aujourd’hui, c’est quoi ?

Ce qui passe à l’écran et ce qui se passe dans la vraie vie ne correspondent pas toujours.

Et les gens, les citoyens, qu’est-ce qu’ils ressentent vraiment ?

Qu’est-ce qu’on leur donne à manger ?

Qu’est-ce qui est priorisé ? Le bien-être… ou le capitalisme ?

Soyons honnêtes :

On est tous en train de se battre. Que ce soit l’Ohio ou Paris, c’est le même cycle dans des vêtements différents.

Où est-ce qu’on rentre ? Où est-ce qu’on grandit ? Comment on casse cette boucle ?

Parce que si ce monde continue à nous tendre les mêmes pièces de puzzle, alors on va devoir retourner la table et créer notre propre jeu.

Mon équipe m’a dit que c’était toi, France.

J’ai su alors qu’on allait parler autrement cette fois-ci.

Alors on a fait les valises. On a planifié. Et maintenant, on est là.

Et je m’en fous de ce qu’ils disent dans ces bureaux chics. Je m’en fous de ce qui est tendance cette semaine.

Si tu en as marre de souffrir dans des systèmes dépassés et que tu es prêt à définir une nouvelle norme…

Tu es exactement là où tu dois être.

Bienvenue.

1. Burnout & Pression Travail-Vie

Ne jouons pas.

Ce concept entier de « pression travail-vie » ?

C’est une tension construite.

Une pression intégrée dans les fondations d’un système qui n’a jamais été conçu pour te soutenir.

Laisse-moi te poser une question.

Si quelqu’un te payait pour chanter, danser, peindre, construire, filmer, réparer, diriger
quelque chose qui t’illumine de l’intérieur
tu ne choisirais pas ça plutôt que de pointer chez quelqu’un d’autre ?

Bien sûr que si.

Mais ce n’est pas ça, le problème.

Le problème, c’est que même quand on sait ce qu’on préférerait faire,
il faut quand même manger.
Il faut quand même payer.
Il faut quand même survivre.

Et survivre, ça demande des calculs.

Des maths réelles, quotidiennes.

Combien entre. Combien sort.
Ce qu’il reste à faire tourner.
Ce qu’il reste à construire.

Et ces maths ?

Elles ne mentent pas.

Elles te montrent à quoi va ressembler ton année.

Et elles te disent quelque chose que la plupart des systèmes ne diront pas :

Le travail ne suffit pas.

Pas pour le loyer.
Pas pour la dette.
Pas pour la guérison.
Pas pour le rêve.

Alors on s’épuise.

On se lève tôt. On bosse dur. On sacrifie.

Et quand on est trop fatigué pour terminer nos propres objectifs ?
On se blâme.

Ils disent « travaille plus dur ».
Ils disent « sois reconnaissant ».
Ils disent « discipline ».

Mais ils ne parlent pas de ce qui se passe quand tu donnes tout
et qu’on te dit encore que ce n’est pas assez.

Ce n’est pas de la pression.
C’est de l’étouffement.

Tu as déjà eu l’impression qu’ils te pressaient ?
Comme un fruit, chaque goutte jusqu’à ce qu’il ne reste rien ?

Puis ils te demandent de revenir et de recommencer.

Tu connais ce sentiment.

Tu ne l’as pas raté.
Tu ne l’as pas imaginé.

C’est inscrit dans l’accord.
Une ligne invisible qui dit :

« Donne-nous tout. Et tais-toi. »

Et bien sûr, on signe.
On postule. On accepte. On pointe.

Mais quel choix avons-nous, la plupart du temps ?

On essaie de vivre.

À moins que tu aies du capital.
À moins que tu aies des compétences rares.
À moins que tu aies hérité d’un statut, d’une propriété, d’un privilège ?

Tu cours sur un tapis roulant qui ne s’arrête jamais.

Et ce ne sont pas que les boulots de 9 à 17.

Tu peux être épuisé par des concerts.
Épuisé par la débrouille.
Épuisé d’essayer.

Même épuisé de faire défiler ton écran.

Ce système se fiche du type de travail.
Il veut juste savoir combien de toi il peut consommer.

Alors ne confonds pas « travail acharné » avec « chaînes dures ».
Ne confonds pas « discipline » avec « manque de respect ».

Même les accros de la salle, les acteurs millionnaires, les combattants oui, ils s’entraînent dur.
Mais avec un but.
Pas juste pour survivre.

Le burnout, ce n’est pas toujours une question d’effort.
Parfois, c’est de l’effort sans propriété.

Et c’est le pire genre.

Parce que quand tu brûles ?

Tu ne perds pas seulement ton énergie.
Tu perds ton tranchant.
Ton inspiration.
Ton temps.
Ta clarté.

Et le pire ?

Tu as encore du travail à faire.

Du travail sur toi.
Du travail sur ton plan.
Du travail sur ta sortie.
Du travail sur ton prochain niveau.

Mais ton réservoir est vide.

Parce que personne ne nous a appris à nous recharger.
On nous a juste appris à continuer.

On n’est pas des machines.

On est des créateurs.

Des respirants. Des ressentants. Des bâtisseurs. Des innovateurs.

Mais si tu ne nommes pas ta valeur,
ils vont te traiter comme un produit d’inventaire.

Et quand ils auront fini de te tirer de l’étagère ?

Ils te laisseront dehors, inutilisé, non guéri, sans importance.

Ce n’est pas une erreur.
C’est une stratégie.

Alors laisse-moi te dire ça pour de vrai :

Tu travailles peut-être aujourd’hui.
Tu pousses peut-être fort.
Tu fais peut-être « tout comme il faut ».

Mais tant que tu ne construis pas quelque chose qui te nourrit,
le burnout va rester à ta porte.

Tu pourrais être un chauffeur.
Un artiste.
Un parent solo.
Un freelance.
Un immigré.
Un étudiant.

Ce système se fiche du costume que tu portes.

Tout ce qu’il voit, c’est combien de main-d’œuvre il peut obtenir pour le coût le plus bas.

Et toi ?
Tu dois commencer à voir autre chose.

Parce que ce n’est pas seulement une question d’épuisement.

C’est une question de reprendre ce qui te nourrit.

Et s’ils ne veulent pas te le donner ?

Alors tu le construis.
Ou tu mets le feu et tu recommences.

2. STIGMATISATION DE LA SANTÉ MENTALE ET SUPPRESSION ÉMOTIONNELLE

Quand on parle d’esclavage  ouais, ça.

On parle d’un peuple qui traverserait des océans…
Arracherait la vie à ses racines,
Jetterait des corps sur des bateaux,
Séparerait des familles,
Expédierait des humains par les eaux comme de l’inventaire.

Les forcerait à travailler,
Effacerait leurs noms,
Féminiserait leurs esprits.

Et puis des siècles plus tard
Viendrait dire à leurs descendants :

“Faut tourner la page.”

Ce n’est pas juste une injustice.
C’est une colonisation émotionnelle.

Ils n’ont pas juste pris la terre.
Ils ont essayé de nous retirer le droit de ressentir.

Alors ne sois pas surpris quand la version moderne de cette même voix dit :

“T’es pas fatigué. T’es juste faible.”
“T’es pas stressé. T’es juste paresseux.”
“T’es pas traumatisé. T’es dramatique.”

Même énergie. Nouveau vocabulaire. Nouveau masque.

Mais c’est le même manque de respect.

Soyons clairs :
Il n’y a rien de noble à cacher ta douleur.

Il n’y a rien de fort à ravaler ta vérité pour ne pas mettre les autres mal à l’aise.

Il n’y a rien de puissant à laisser un système te faire douter de ton humanité.

C’est OK de ne pas aller bien.

C’est OK de s’effondrer. De se reposer. De pleurer. De crier. De dire non. De se retirer. De ne pas être "au top". De vouloir quelque chose de plus doux que la survie.

Parce que cette version de la “liberté” qu’ils vendent ?

Elle n’est pas gratuite. Et elle n’est sûrement pas faite pour ta guérison complète.

Tu sais ce que c’est la suppression ?

C’est quand t’es dans ta propre voiture, musique à fond, enfin en train de ressentir quelque chose, et quelqu’un te dit :

“Baisse le son.”

Tu as payé cette voiture.
Tu as choisi cette chanson.
C’était ton moment.

Mais pour eux ?
C’est “trop”.

Voilà à quoi ressemble la suppression dans ce monde. Partout où tu vas :

“Baisse ça.”
“Éteins ça.”
“Dis pas ça ici.”
“Ressens pas ça trop fort.”

Tu peux être dans un restaurant, goûter quelque chose de mauvais dans ton assiette, et quand tu parles ?

On te dit :
“Chut, ne nous fais pas honte.”

Pourquoi ?

Parce que ton malaise les rend mal à l’aise.

Ta vérité brise l’illusion.

Et les illusions ? C’est leur carburant.

Mais laisse-moi te dire quelque chose de profond :

Tu n’es pas né pour que tout le monde soit à l’aise.

Tu n’es pas fait pour porter la paix des autres au détriment de ta propre présence.

Tes émotions ? Ce sont des données divines.

Ton corps sait quand ça ne va pas.
Ton esprit sait quand quelque chose cloche.
Ne fais pas taire ça.
Ne l’étouffe pas.

Cette société ? Elle t’apprend à fuir toi-même.
À te méfier de ton propre cœur.
À avoir honte de tes propres larmes.

Mais tes émotions ne sont pas des ennemis.
Ce sont des cartes.

Et si tu les suis assez longtemps, elles te mèneront à ta liberté.

Ce n’est pas facile. Ce n’est pas rapide.
Mais c’est réel.

 

3. Division Sociale, Racisme & Identité

Parlons de la mise en place.

Chaque système  qu’il soit un pays, une ville, ou un coin de rue  a ses propriétaires.

Pas juste des proprios de bâtiments. Des détenteurs d’actifs. Des gardiens du pouvoir. Des portiers.

Et puis y’a toi.

Tu arrives. Affamé de croissance. Prêt à construire. Juste en quête d’une chance.

Mais les gens à la table ?

Ils ne veulent pas toujours plus de chaises.

Parce que ta présence dérange leur confort.
Ton excellence révèle leur stagnation.

Ils ne remettent pas juste tes compétences en question.
Ils remettent en question ton existence.

Ils essaient de dire :
“T’as pas ta place dans cette pièce.”
“T’es pas d’ici.”
“T’es pas des nôtres.”

Et ce n’est pas juste du mépris.
C’est structurel.

C’est codé dans l’accès.
Dans les financements.
Dans les politiques.
Dans les frontières de quartier.
Dans les regards échangés aux passages piétons.
Dans qui peut se sentir en sécurité et qui est regardé comme une menace.

Mais laisse-moi être clair :

Ce n’est pas juste de la résistance.
C’est de la peur.

Parce que ce qu’ils appellent “intimidant” est en fait illumination.

Tu n’es pas “trop”. Tu leur fais juste voir ce qu’ils refusent d’affronter.

Et ça ?
C’est du pouvoir.

Le racisme, ce n’est pas une question de suprématie.
C’est une insécurité avec un privilège au-dessus.

Parce que la vérité, c’est :

Tu penses. Ils pensent.
Tu saignes. Ils saignent.
Tu rêves. Ils s’inquiètent.

Mais quand tu t’élèves ?

Ils paniquent.

Parce que ton éclat dit :
“Tu ne peux pas m’effacer.”
Ta présence dit :
“Je ne demande pas à appartenir. J’appartiens déjà.”
Tes mouvements disent :
“Que je sois autorisé ou non, je suis là.”

Et c’est ça qui les terrifie.

Alors ne te laisse pas piéger à prouver quoi que ce soit.
Ne tombe pas dans le piège d’expliquer ton droit de respirer.

Tu ne dois ça à personne.

La division sociale est une distraction.
Une mise en scène construite sur la possession et l’image.
Mais au-delà du bruit ?

Tu n’es pas divisé.
Tu es entier.

Et chaque fois que tu arrives dans ta plénitude,
ta couleur,
ta brillance,
ta vérité 

tu fais plus que survivre.

Tu réécris la réalité.

4. DÉSILLUSION DU SYSTÈME ET INSTABILITÉ POLITIQUE

Regardons le système, pas le slogan.

Tu postules pour un boulot, et ils te disent :
« On a des avantages. »
« Tu peux acheter une assurance vie. »
« Tu peux cotiser à un plan de retraite. »
« Tu peux investir dans ta propre protection. »

Mais si c’est toi qui paies tout… Qui te protège ?

Tu ne reçois pas des avantages.
Tu dépenses juste de l’argent pour rester éligible.

Ils te donnent un système qui ressemble à la sécurité.
Mais en réalité, c’est un labyrinthe.
Et chaque tournant te coûte.

Tu travailles. Tu charbonnes. Tu joues le “bon citoyen.”

Et dès qu’un truc bouge ? Ils te lâchent.

Pas d’avertissement. Pas de thérapie. Pas de compassion.

Juste, « On réduit les effectifs. »
Juste, « Ton poste a été supprimé. »

Tu vois, derrière les logos, derrière les drapeaux,
derrière les campagnes brillantes et les déclarations polies,
il n’y a que des gens.

Et quand ça devient sérieux ?

Ils choisiront leur cercle plutôt que toi, à chaque fois.

Ce n’est pas de la haine. C’est de la survie.
Mais dans un système ?
Où les gens au pouvoir peuvent construire des murs, des codes, des portails, des frontières ?

Ça devient une structure d’exclusion.

Alors quand je dis que je ne vote pas, que je ne supplie pas, que je n’embrasse aucun drapeau…

Ce n’est pas parce que je suis fou.
C’est parce que je sais que la vraie liberté, ça ne se distribue pas sur une scène.

La vraie liberté n’attend pas qu’une loi passe. Elle bouge comme la nature.

La nature n’a pas besoin de permission pour pousser.
Elle ne s’excuse pas quand elle prend de la place.
Elle ne demande pas avant de fleurir.

Et c’est comme ça qu’on doit bouger.

Parce que ces systèmes ?
Ils dépensent pour la guerre avant le bien-être.
Ils débattent de ta valeur pendant que toi, tu fais des miracles avec des miettes.

S’ils voulaient vraiment soutenir le peuple, ils le feraient.

Mais la vérité, c’est que :
Ce n’est pas un système de soutien.

C’est un système de profit.

Et si ça te dérange ?
C’est normal.

Parce que tu n’as pas été fait pour être un produit.
Tu n’es pas né pour être pressé, vendu ou réduit au silence.

Tu es né avec du rythme dans le sang et de l’héritage dans les poumons.

Et quand le système ne reconnaît pas ça ?
Tu construis le tien.

Tu t’organises.

Pas juste des protestations. De l’économie. Des plans. De la propriété.

C’est ça qu’on a besoin maintenant.

Parce que l’ancien système ? Il tourne à vide.
Il traîne les pieds à travers des croyances dépassées et un pouvoir hérité.

Mais nous ? On grandit.

On innove.

On crée des entreprises avec du sens.
On élève des enfants avec conscience.
On plante des racines avec intention.

C’est comme ça que le changement commence.

Et t’as pas besoin d’être parfait pour en faire partie.
Tu dois juste être présent. Tu dois juste vouloir assez pour créer.

Mot de la fin : Voici l’Activation

À la France. À ceux qui sont brisés. À ceux qui brillent. À ceux qui ont déjà fait les valises mais qui n’avaient pas les mots 

Voici le moment. Voici le message.

Voici ton activation.

Pas parce que je l’ai dit.
Mais parce que tu l’as déjà ressenti.

À partir de maintenant, le site du Resilient Arts Department est entièrement disponible en français.

Fini les suppositions.
Fini les portes dérobées.
Fini les places à l’arrière.

Va dans le sélecteur de langue. Passe en français.
Lis ceci à nouveau dans ta langue maternelle.

Laisse résonner.

Parce que ça, là ?

Ce n’est pas un blog.

C’est un miroir.
Une déclaration.
Un billet.

Vers quelque chose de plus libre que ce qu’ils ont essayé de te donner.

Tu l’as porté assez longtemps.

Maintenant, porte-le haut.

Ta vérité. Ta guérison. Ton tranchant. Ton calme. Ta clarté.

Tu es le nouveau système.

Et nous te voyons.

 

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