J'avais l'habitude de bouger juste pour bouger.
Avant, je travaillais juste pour travailler.
Un autre changement, un autre travail, une autre âme dans la terre.
Ils m’ont dit : « Reste occupé », alors je suis resté.
Ils m’ont dit : « Continue », alors j’ai couru.
Mais je n'ai jamais demandé où ?
Tu n'as jamais demandé pourquoi ?
Jusqu'au jour où j'ai ouvert mon portefeuille et que l'Œil m'a regardé.
Pas seulement de l’encre sur une facture.
Pas seulement un triangle.
C'était une confirmation.
Et il a dit quelque chose sans parler.
Il a dit : « Je te vois. »
Et je l'ai senti dans ma poitrine comme une porte qui s'ouvrait en claquant.
Pas de clés. Juste la reconnaissance.
Maintenant que l’Œil me voit…
Je ne peux pas redevenir aveugle.
Ce n’est pas de la paranoïa, c’est un but.
Ce n’est pas de la superstition, c’est de la stratégie.
C'est une rencontre de survie.
C'est le troisième œil, et l'œil du dollar qui serre la main comme,
« Nous ne sommes pas ennemis ; nous sommes désormais partenaires. »
Je ne travaille pas juste pour travailler.
Je ne construis pas juste pour me vanter.
Cette fois, je bouge avec un plan.
Cette fois, j'empile avec alignement.
Cette fois, je marche comme si j'avais des réponses.
Parce que je le fais.
« J'ai fait regarder mon fils ».
J'ai fait fredonner mes ancêtres.
J'ai ma propre voix dans ma tête qui dit :
« Plus d’années perdues. »
Je vois pourquoi j'ai souffert.
Je vois pourquoi j'ai voyagé.
Je vois pourquoi j’étais agité.
Tout cela pour m'apprendre que la clarté n'est pas gratuite, elle se mérite.
Et maintenant que je vois, je ne me contente pas de ça.
Pas pour les emplois.
Pas pour les listes de contrôle.
Pas pour les rêves à moitié construits.
Je veux la construction complète.
Je veux la liberté numérique,
le contrôle créatif,
l'empire multiple
Je ne suis plus seulement un travailleur, je suis désormais un observateur.
Un écrivain de rythmes.
Un récupérateur de racines.
Un créateur du destin.
« Je ne suis pas mon agitation. Je suis ma sainteté. »
« Je ne suis pas mes blessures. Je suis ma sagesse. »
« Je ne bouge pas juste pour dire que j'ai bougé. Je bouge parce que le plan est allumé, que l'Œil me regarde et que je suis prêt. »
Alors, si vous me demandez quelle heure il est ?
Il est l'heure de construire.
C'est la saison de « rendre la vision visible ».
C'est la saison de « protéger votre paix comme votre capital ».
Maintenant que l’Œil me voit, je vois le monde différemment.
Et je ne peux pas redevenir invisible.
Plus jamais.